Vidéo (en chantier... si j'ai le temps !)

Claude Raoux (au centre) fait l'éloge d'une école performante, adulée par les Bollénois. 

• Mûrement réfléchi dans les sphères de l’école de musique par son directeur Patrice Conte, avec l’attention particulière de Claude Raoux, adjoint au maire (voir page), l’événement arbore ici la forme du concert annuel des orchestres. 

• Une fois de plus, il vient de congestionner la salle Brassens, côté scène et côté public. Un coup d’éclat qui doit beaucoup à l’association des parents d’élèves (APE) qui huile les rouages et tient la buvette.

• En formations diverses, de quatre à six dizaines d’exécutants assument un programme ambitieux. 

• Deux chefs se partagent la direction du flux juvénile, renforcé par des « réservistes », anciens brillants élèves bollénois, aujourd’hui membres d’orchestres ou professeurs dans la région.

• La première partie incombe à Yvon Durnez qui dirige un orchestre de chambre, seul, puis renforcé par des vents et percussions. 

• Saluons notamment cette adaptation de « La flûte enchantée » (Mozart) avec deux jeunes récitants issus de l’atelier « Théâtr’âme » et la farandole de « L’Arlésienne » (Bizet).

• La seconde partie met à contribution Valentin Conte, jeune chef à poigne à la tête d’une harmonie, puis d’un orchestre symphonique, dont il obtient le meilleur. 

• Sans « flottement » ni « mollesse », il arrache le morceau et nous balade « Sur le Marché persan », file le train de « West side story » ou de « Gershwin en concert ». 

• Au final, Webber (Le fantôme de l’opéra) et Chostakovitch (valse) soulèveront des ovations.