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Ne
craignant pas les difficultés, le dernier concert résultait
d’arrangements musicaux pointus, dus au chef de chœur. C’est
davantage l’interprétation que l’œuvre qui, finalement, attire
l’attention.
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S’écartant
de la ligne mélodique principale, les choristes bifurquent sur des
tonalités parallèles, plus basses ou plus hautes, selon des
variations polyphoniques inhabituelles. Bien
maîtrisé, le résultat est détonant, au sens fort du terme. Désarçonnés,
les interprètes cherchent encore, ici et là, l’écart juste.
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C’est
un privilège d’assister, en direct, au travail toujours perfectible
de Vocalia qui, bien sûr, caracole au firmament quand il chante des
airs bien rodés.
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