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Monologues Faux-cul  
Mine de rien, cette semaine, Mondragon-plus.com a franchi la barre
 psychologique des 100 000 visites. D'où quelques éloges qui m'ont fait 
chaud au coeur. Mais aussi une
métaphore désobligeante, dure à digérer
Jeudi 19 Mai 2011

  Etapes précédentes  

     
De célèbres faux-culs peints
par Claude Monet (1840-1926)
   
Une affiche de Tartuffe (alias faux-cul)
Molière (1669)
   
Le présumé faux-cul, pseudo-chroniqueur
de Mondragon-plus.com
   
Le faux-cul courageux
   
L'eau qui passe sous les ponts d'où se jettent 
les faux-culs, considérés à tort comme tels. 

Étymologie :

A l'origine, le  faux-cul désigne familièrement une tournure ou un rembourrage que les femmes portaient jadis sous leur robe afin d'augmenter le volume de leur postérieur. Par extension, c'est une forme d'hypocrisie qui nous amène au chapitre suivant.

Définitions, synonymes :

Les épithètes abondent. Nous avons le choix entre : suborneur, tartuffe, dupeur, menteur, déloyal, partial, etc.

Proverbes :

Je ne vous en citerai qu'un seul, très imagé : "Il est malaisé de baiser un faux-cul." Bien sûr, tout dépend de ce qu'il faut entendre par "baiser".

Pourquoi cette réflexion ?

Il y a un début à tout. Alors que le compteur de mon site vient de franchir le seuil des 100 000 visites (ce qui m'a tout de même valu quelques marques d'affection), quelqu'un (non, je ne vous dirai pas qui) vient de me balancer à la figure : "Tu n'es qu'un faux-cul !"

On peut ne pas être d'accord avec ce que je dis. Il peut effectivement m'arriver de m'écarter du sujet. De me laisser duper par la magie des mots. Mais pas au point de personnifier le faux-cul idéal !

J'ai vertement riposté. La discussion a tourné court. Je croyais pouvoir en rester là. Mais l'insulte - car c'en est une - a distillé son venin. Pour qui me prend-on ? Le trop bien écrit n'est pas toujours saisi par un esprit poussif. 

L'éthique de Mondragon-plus.com - je ne le répèterai jamais assez - est de respecter toutes formes  d'expressions, artistiques, sportives ou autres, intéressant le village (et ses alentours dont Bollène).

Les querelles intestines, les clans et autres sacs de noeuds ne me font pas peur. L'avouerai-je ? Cela me stimule ! Un brin de causticité, un chouia d'humour, de courtois regrets ou des dithyrambes mesurés... et le tour est joué !

Il m'est arrivé, certes, d'être un peu sévère (notamment au sortir du Drac 2010). Mais pas si injuste que cela ! Et je sais gré, aujourd'hui, à mes "victimes" de ne plus m'en vouloir.

Quel faux-cul ?

Alors, me sied-il ce faux-cul ? Mais lequel choisir des trois ? Il ne peut s'agir de l'artifice gonflant l'arrière-train de ces dames. Encore moins de s'échiner à vouloir "baiser" ce "cul" qui n'en est pas un. Ne reste donc bien que l'hypocrite, le hâbleur, le chroniqueur malintentionné qui, bénévolement depuis six ans, fait mine de tenir à jour les activités plurielles du village.

Or, mes quelques possibles "dérapages" restent insignifiants, comparativement à la probité du travail considérable qu'exige la mise à jour quotidienne d'un tel site. Ceci parallèlement aux articles pondus quotidiennement pour "La Provence" qui m'emploie depuis bientôt trente ans et à qui je dois cette technique journalistique, loin d'être déplaisante !

Pardonnez-moi si, d'aventure, j'ai plutôt l'air de dire du bien de moi. Mais il fallait remettre les pendules à l'heure. Faux-cul ? Connais pas ! Je n'ai pas le sentiment d'en voir un devant ma glace. Pas plus que je n'oserais en décrire un seul sur ce site.

Alors, donnant-donnant : je vous respecte, respectez-moi !

                                                                Cordialement,   J. P

Mais le faux-cul a un vélo pour s'aérer les neurones
et enjamber l'autoroute qui regorge d'autres tartuffes.

Le village du faux-cul, à deux doigts de tout jeter par-dessus bord,
mais qui n'ose pas, car les genêts sont en fleur. Ce qui veut dire que...

... Ce qui veut dire que, entre autres, il y a le gros lézard vert en papier mâché
qui attend le faux-cul. Faut faire avec. Et, foi de faux-cul, c'est, là encore,
une sacrée paire de cuisses !   ( programme Fête du Drac)

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