Yannick Truc et la chorale de l’école Jean-Moulin, pourtant annoncés, ne sont pas
venus. Seule et unique entité musicale, fidèle à la tradition célébrant l’arrivée de l’été, Pagaille a ici le mérite d’avoir sauvé le minimum du
naufrage, toujours devant le Bar Chez Michel, pour une assistance maigrichonne.
Entre la récente fête du Drac, au succès phénoménal, et le prochain
festival Rock au Sablet, plutôt prometteur (samedi 5 juillet), la fête de la musique, jadis si brillante, ne mobilise plus aujourd’hui le potentiel
musical ni le public qui va avec. Dommage !