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Les
auditions se poursuivent aisément à l’espace culturel où, depuis la dernière
rentrée, la salle polyvalente du premier étage se prête particulièrement
bien aux concerts des élèves. Réparties dans le même édifice rénové, les
classes n’ont qu’une porte à pousser pour venir témoigner de leurs progrès,
devant les familles attentives.
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Trois
disciplines, enseignées par Michel Pallarès, figuraient ce soir-là au
programme. De tout jeunes débutants, intimidés par le public, en étaient
encore à leurs premières auditions. Leurs aînés s’en tirent évidemment
mieux.
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Avec
ses accords préréglés, le clavier (ou orgue) permet une approche séduisante
d’airs connus tels que « L’important c’est la rose », « Les
parapluies de Cherbourg » ou « Le parrain ».
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Privé de
fioritures, le piano concentre l’exécutant sur une seule ligne mélodique.
Une berceuse de Baumfelder et deux menuets de Rameau et J. S. Bach répondaient
notamment à cette exigence.
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L’accordéon chromatique, ici défendu par un
adulte, Michel Ardoin, fait partie intégrante d’une option privilégiée par
l’école (voir page).
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