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Commémoration Déportation : le souvenir subsiste comme il peut Dimanche 17 avril 2011

  Cessez-le-feu 2011

  

Une commémoration scrupuleuse marque le 66ème anniversaire de la victoire contre le nazisme, en présence d’anciens combattants, de sapeurs-pompiers, de la population (un peu chiche) et des élus. 

Christian Peyron, maire, rappelle l’inauguration d’une plaque, effectuée l’an dernier, nommant une rue du village du nom de Marin Ramière, déporté à Buchenwald. Sa fille Francine est présente à la cérémonie. 

Le discours est suivi de l’audition de « Nuit et brouillard » par Jean Ferrat, du chant des partisans, puis de l’hymne national. Ce triptyque musical, suivi d'une minute de silence, trompe l'impatience devant une stèle non fleurie... Les gerbes n'ont pas été livrées !

Le pot de l’amitié, offert au foyer de l’âge d’or, a ensuite rallié l’assistance vers des horizons paisibles.

   

Il n'y a pas vraiment foule...  Il n'y a pas de gerbes non plus...  Le fleuriste ne les a pas livrées ! 

   

Les fleurs sont apparues en retard... après la cérémonie ! Confus, le fleuriste ne les facturera pas.

   

   

Symbole d’une mémoire vivace avec un jeune sapeur pompier.
A lui seul, il rachète les (trop nombreux) absents.

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