La Rose ouvre le débat
sur le devenir de La Poste  
Assemblée générale - Mardi 2 décembre 2008
Alain Delautre, syndicaliste 
départemental et débatteur
Jacques Brunel,
président de La Rose
 

Assemblée générale 2007      Fête de la Rose 2008

 

  • La Rose s’est réunie en assemblée générale autour du président Jacques Brunel et en présence du conseiller René Roche, représentant la municipalité. 

  • Bien qu’amputé d’un débat sur le réchauffement climatique, initialement prévu au printemps dernier puis annulé faute d’intervenant, le bilan de la saison reste honorable : présence indéfectible lors des commémorations patriotiques, dépôt d’une rose en mai sur la tombe d’anciens sympathisants, et, bien sûr, fête de La Rose en septembre dernier, à l’Ile-Vieille, désormais couplée avec l’antenne de Bollène.

  • La trésorerie accuse un solde positif de 1354 €. La fête de La Rose 2009 serait programmée à Bollène pour samedi 26 septembre à Pénègue ou à Saint-Ferréol et, selon un souhait unanime, pourrait coïncider avec le rassemblement départemental. 

  • Le bureau est reconduit comme suit : Jacques Brunel, président ; Edmond Chesnet, vice-président ; Danièle Chesnet ; secrétaire ; Daniel Grange, trésorier.

 

Service public menacé

Un débat passionné qui, curieusement, n’a déplacé 
aucun représentant des bureaux de Poste du canton.

  • Conclue par un cordial apéritif dînatoire, la réunion comportait un débat passionné sur le devenir de La Poste, menacée de privatisation, avec le concours d’Alain Delautre, syndicaliste départemental « qui déplore la disparition programmée du service public à des fins idéologiques et non conjoncturelles. » 

  • A ce jour, sévirait déjà un service inégalitaire épargnant relativement les grandes villes au détriment des campagnes, pourvues d’agences communales réduites, déléguées aux municipalités. Un pis-aller dont ne bénéficierait même plus Lamotte-du-Rhône où La Poste devrait être bientôt fermée.

  • Qu’en est-il à Mondragon où, courant 2009, devrait être inauguré un bâtiment neuf alloué au service postal après démolition de l’actuelle Poste ? 

  • Une question cruciale qui, curieusement, n’a déplacé aucun des représentants des bureaux de Poste de Mondragon et du canton, pourtant dûment informés du débat. Reste à mobiliser les populations, pour que le projet gouvernemental de privatisation, « gelé pour l’instant, le devienne pour toujours. »

 

Pépète est réélue à l'unanimité mascotte de La Rose

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