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Christian
et Dominique Bachelet, respectivement président
et animatrice au sein de la Gym Volontaire |
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Plus
de la moitié des Français n’atteignent pas le seuil d’activité physique
utile à la santé. La marche est un moyen simple d’y remédier. En
collaboration avec le Laboratoire Universitaire Activités Physiques et Santé
(LUAPS) de Toulouse, la Fédération
Française d’Education Physique et Gymnastique Volontaire (FFEPGV) a effectué
une première étude concernant les femmes ménopausées.
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Elle poursuit
aujourd’hui avec le programme personnalisé Acti-Marche qui cible des
personnes sédentaires de 14 à 99 ans. Un accompagnement et des outils pédagogiques
favorisent la lutte contre l’inactivité et améliorent les paramètres de
santé.
Recherche de femmes volontaires
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Le
comité régional FFEPGV participe à une recherche sur le plan national :
mesurer l’impact d’un programme individualisé d’activités physiques,
afin d’améliorer les indices de santé chez des femmes âgées de 40 à 60
ans.
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D’où la recherche de volontaires. Les lieux d’application sont Bollène
et Vedène pour le Vaucluse ; Pélissane et Tarascon pour les Bouches-du-Rhône.
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C’est
là qu’intervient Dominique Bachelet, animatrice locale au sein de
l’association Forme et Bien-être avec la Gym Volontaire, mais aussi
partenaire de la FFEPGV (3ème fédération sportive et 1ère
non compétitive).
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