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A mi-chemin entre la dernière et la prochaine
fête du Drac, le Comité des fêtes se partage entre bilan et projet. Sachons-lui gré d’assumer des contraintes. Ouvertes au public, les réunions
sont supposées plus attrayantes grâce au débat. Mais l’affluence n’est pas toujours au rendez-vous.
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Un appel récent aux Chevaliers de la
Confrérie du Drac (ressuscitée en mai dernier) n’a déplacé que quatre personnes, dont un seul chevalier et Céline Ros, présidente du comité. Entre
excuses ou simple oubli, on n’ose quantifier la somme d’indifférence.
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Comment réactiver l’intérêt ? Peut-être en
renversant la vapeur. Imaginons un cercle amical, où le simple plaisir de se voir prévaut sur l’ordre du jour. Vite dit ! Car le problème est bien
là et pas ailleurs : on n’échappe pas au concept peu affriolant et injustifié de la réunionite.
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Heureusement, au final, la fête s’en tire
toujours. Des tâches mieux réparties en amont, ce serait tout de même mieux !
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