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Bonus. Sans être très
pointue, l'oraison n'est jamais longue
ni ennuyeuse.
Le sourire de l'adjointe prévaut. |
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A chacun sa propre histoire
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L’astuce consiste à démontrer qu’en fait on n’abandonne rien
tu tout. Au hasard de flâneries solitaires, alimentées par l’indispensable vague
à l’âme, qui n’a pas un jour rêvé devant des rails rouillés ne menant nulle
part, une usine désaffectée aux stigmates suggestives, une charrette délabrée
criante d’anachronisme ?
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Poussant plus loin la noble décrépitude, au-delà d’une
figuration « facile », certain minimalisme flirte avec l’abstraction : une
chaîne rouillée émergeant du sable, un bout de mur lardé de graffitis…
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Point de titre ni de présentation ostentatoire.
« A chacun de greffer sa propre histoire », élude Michel Bedin,
président, qui rappelle simplement : « Les nouvelles recrues passent par le
labo et l’image argentique auprès de Henri Marcinno, puis s’orientent
éventuellement vers le numérique auprès de Serge Iordanoff. »
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Exposition à l’hôtel de ville, salle des Pas
Perdus, jusqu’au 30 novembre. Entrée libre.
Pour contacter
le Photo-club : tous les vendredis à partir de 20h30 au centre culturel Brassens
(1ère salle à droite) ou Office de tourisme, Tél. 04.90.40.51.45.
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